Polytech Montpellier Université de Montpellier

I-site Muse : Cinq projets Polytech acceptés

 Les cinq projets MUSE soumis dans le cadre du Take off #3 (cursus et nouveaux diplômes) ont été acceptés :

  • Parcours Recherche Ingénieur (PRI) | Porteur du projet : Stephan Brosillon
    Pour une labellisation "Parcours Recherche Ingénieur" pour nos étudiants les plus motivés par la recherche, en partenariat avec les unités de recherche, les masters et les écoles doctorales.
  • Scale up Of FLOW Training (SOFT) | Porteuse du projet : Laetitia Picart-Palmade
    C'est la continuité du programme FLOW, l’école d’été internationale sur les Grands Défis Industriels en France proposée par Polytech depuis 2019.
  • Former des Ingénieurs Cloud Responsables du 21ème siècle (FICR) | Porteur du projet : Arnaud Castelltort
    Il s’agit de la formation "Développement informatique et exploitation Opérationnelle"(DO), nouvelle formation par apprentissage dans le domaine du numérique.
  • Diplôme d’Université "Développement de Systèmes Spatiaux" (DU DSS) | Porteurs du projet : Wilfried Desrat, Serge Pravossoudovitch et Jean-Marc Galliere
    Cette formation d'un an s'adressera à des ingénieurs ou titulaires d'un Master dans les domaines de l'électronique, de l'informatique ou des matériaux (liste non exhaustive), qui souhaitent élargir leurs compétences vers des aspects systèmes, qualité et gestion de projets spécifiques dans le spatial.
  • Diplôme d’Université "Sécurité numérique des systèmes embarqués" (DU SECNUM) | Porteur du projet : Pascal Benoit
    Développement une formation d’experts en sécurité́ numérique des systèmes embarqués pour répondre à la carence d’ingénieurs spécialistes sur le marché.

    En complément, un projet Take Off #4 (équipements innovants) a également été accepté :
  • Diplôme d’Université "Développement de Systèmes Spatiaux" (DU DSS) | Porteurs du projets : Wilfried Desrat, Jean-Marc Gallière

Une enveloppe globale de 800 000 euros a été allouée à l'ensemble de ces projets.

Signature électronique : application aux conventions de stages

Lancée dans l’urgence pendant le confinement, la mise en place de la signature électronique a permis de traiter 388 documents, dont 116 sont en cours de signature (93 avenants et 23 conventions) et 172 ont été finalisés (120 avenants et 52 conventions).

"Avant le confinement, nous étions en train de préparer un outil développé par l'un de nos étudiants et intégré dans POLY+, explique Bruno de Lourenço, juriste chargé des partenariats. Nous avons fait appel à la société UNIVERSIGN, tiers de confiance qui effectue la certification des signatures électroniques."

Avec la crise sanitaire, la mise en place de la signature électronique a été anticipée avec l'outil web proposé par UNIVERSIGN.

"Il était urgent d’adapter notre processus de signature à un contexte de confinement, poursuit Bruno de Lourenço. Il fallait aussi sécuriser la situation de nos étudiants, dont le stage a, du jour au lendemain, été suspendu, annulé ou basculé en distanciel, tout en tenant compte des recommandations ministérielles."

Avec la procédure mise en place, la valeur légale des signatures sur les conventions et avenants est également garantie.

Pour les conventions et avenants dont l'organisme d'accueil est l'UM, le processus de signature physique reste applicable.

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Une nouvelle sélection au concours Ecotrophélia France

Les Pescad’Oc, c’est le nom de l’équipe d’étudiants de la spécialité Génie biologique et agroalimentaire qui vient d’être sélectionnée pour les épreuves finales du concours Ecotrophélia France. Habituellement programmées fin juin, celles-ci ont été reportées du 1er au 3 septembre prochains, toujours à Avignon.

Avec son produit innovant éco-conçu, Les "Seackers", l’équipe relève le nouveau défi du concours : s’illustrer dans la catégorie Innovation Produits de la pêche française. Elle présentera son produit, des crackers au maquereau pour l’apéritif, déclinés sous trois saveurs méditerranéennes, la tomate séchée, la figue séchée et l’olive noire, et défendra aussi le business plan associé.

L’équipe a développé ce nouveau produit en collaboration avec des partenaires 100% locaux, notamment la criée de Sète, afin de mettre à l’honneur la pêche de Méditerranée en incluant plus de 30% de maquereau dans la formule de ses crackers.

"C’est une grande joie et une grande fierté de participer au concours et de pouvoir présenter notre produit dans cette catégorie, témoigne l’équipe. Dans le contexte actuel, on ne savait pas si les épreuves allaient être maintenues… Le confinement a tout stoppé brutalement et nos maquereaux sont toujours dans le congélateur du bâtiment 15 !"

Pour le concours, ils doivent penser à tout : le stand pour présenter l'univers associé à leur innovation, la présentation devant le jury de professionnels, les contacts avec les fournisseurs, la préparation des 1000 crackers qui seront dégustés pendant la compétition, nécessitant un salage du poisson pendant 24 heures, son fumage au bois de hêtre puis la confection et la cuisson des crackers…

"C’est une exprience vraiment complète, c’est comme créer une start-up ! Nous avons développé des compétences dans des domaines variés : étude de marché, montage financier, marketing, qualité, R&D…, poursuivent-ils. Cela nous a permis de développer des contacts professionnels, et de travailler en très bonne entente au sein de l’équipe. Pour le concours on est impatients maintenant ! On est optimistes : notre produit a une vraie valeur ajoutée car il valorise un produit brut et affiche un nutri-score de A, ce qui n'est pas courant pour un produit apéritif."

Suivre leur aventure sur Facebook et sur Instagram

Lire l'article de Process alimentaire consacré aux 20 innovations sélectionnées pour les épreuves finales du concours 2020.

COVID-19 : Le plan de reprise des activités

Les activités de l'école se sont poursuivies en distanciel durant la durée du confinement. Le 11 mai, les choses évoluent à la faveur des nouvelles dispositions annoncées par le gouvernement et l'Université.

Pour la période du 11 au 29 mai, la reprise progressive des activités sur site nécessite l'application de gestes barrières stricts : limitation des réunions physiques, distanciation au-delà de un mètre, port de protections selon les cas (visières et/ou masques), organisation des bureaux pour limiter le nombre à une personne, fermeture des espaces de convivialité…

Cette reprise partielle concerne une partie de l’équipe de direction et quelques personnels techniques et administratifs.

Ainsi, jusqu’au 29 mai, la règle générale reste le télétravail ou l'autorisation spéciale d’absence (ASA) selon les situations personnelles. Les besoins de présence ont été identifiés et indiqués dans le plan de reprise d’activités pour cette première période.

Des kits de protection (masques, visières, solutions hydro-alcooliques, gants) seront distribués par l’Université lors de la reprise.

Les bâtiments restent fermés à l’accueil du public.

Tous vos interlocuteurs habituels restent joignables par mail.
Pour toute question, vous pouvez contacter Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

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